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La Retro de Décembre par Anfalmyr

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On approche des fêtes, ce qui signifie que le net gaming va être rempli de tops, de sélections, de guide de Noël et autre rétrospective de l’année passée. Et c’est bien. De notre côté sur lacazretro, décembre est synonyme d’une succession gargantuesque d’anniversaires à fêter. C’est l’époque de sortie des consoles majeures et des gros jeux de l’année, alors forcément quand on traite de tout ce qui a plus de dix ans, on ne sait plus où donner de la tête à l’approche des fêtes de fin d’année. Du coup je serais tenté de vous faire une petite revue des troupes pour voir quels jeux vont passer la barre symbolique des dix ans l’année prochaine, et pourront donc être traités dans notre podcast. Mais non j’ai pas envie. Pour ce dernier édito de l’année j’ai envie de vous faire partager un moment de noël gaming perso.

LA PLAYSTATION

La Playstation fut ma première console rien qu’à moi. C’est toujours un grand moment, surtout quand on est le petit frère et qu’on voit passer les consoles depuis sa plus tendre enfance sans que ça soit la sienne. Autrefois on m’offrait des jeux, mais pour la console de mon grand frère. Aussi bons fussent-ils, ce n’est pas la même chose qu’avoir sa propre console. Puis vint le Noël 1998. Je venais de rentrer au CM2, on vivait dans une France championne du monde de foot, mon frère avait pris la chambre des parents et j’avais donc ma propre chambre. Bref, c’était cool. À cette époque, je jouais aux jeux vidéo principalement dans la chambre de mon frère, car il avait une petite télé cathodique à laquelle était branchée la Sega Saturn qu’il avait eu quelques temps plus tôt. Moi je n’avais pas de télé dans ma chambre, je ne pouvais même pas jouer de mon côté à cette bonne vieille Megadrive délaissée. Mais c’était cool, le dimanche matin je montais dans la chambre de mon frère pour augmenter le nombre de vies de DIE HARD ARCADE pendant qu’il regardait téléfoot, puis lorsque l’émission était terminée, mon frère remontait pour qu’on puisse finir le jeu une énième fois.

Et vint donc le noël 1998, où mon frère me conseilla de demander une « Playstation » à Noël parce qu’il avait vu la console tourner chez un copain à lui et il trouvait ça super. Je ne savais pas trop ce que c’était, car dans la famille on était plutôt sega-fans, et à dix ans je ne m’intéressais absolument pas aux marques des consoles. Mais mon frère avait vu un certain Final Fantasy VII et m’avait dit « tu vas voir c’est comme Shining Force mais en mieux« , en gros. Alors je l’ai demandé sur ma liste. Quelques jours avant noël, je ne sais plus trop comment, j’ai eu la confirmation que j’aurais bien la console sous le sapin. Je ne vous raconte pas l’état d’excitation qui était le mien à ce moment-là. À tel point que, le matin du 24, je ne tenais plus en place. J’étais tellement surexcité par la soirée à venir que ma mère m’a dit d’aller faire un tour en vélo tellement j’étais insupportable ! Et j’y suis allé, j’ai fait mon petit tour en VTT dans les rues désertes et fraîches de mon petit patelin, m’imaginant les folles aventures que j’allais pouvoir vivre avec cette curieuse nouvelle machine grise dont tout le monde me parlait et dont j’ignorais presque tout. Seul bémol dans ces joyeuses projections, j’allais sans doute devoir négocier avec mon frère d’utiliser sa télé pour pouvoir y jouer, voire pire, demander à la placer dans le salon. Mais peu importe, j’allais avoir MA console !

Le réveillon de Noël est arrivé. Et dans ma famille, la tradition voulait qu’on ouvre les cadeaux le soir du réveillon car mon père travaillait régulièrement le matin de Noël. Mais avant de se lancer dans les joyeusetés, on prend l’apéritif, et on déguste les entrées préparées avec amour par ma maman. Le temps que le gigot finisse de cuir dans le four, on se précipitait dans le salon décoré sobrement de milliards de guirlandes électriques par mon père. Curieusement, cette année mes cadeaux étaient posés non pas au pied du sapin, mais sur un gros socle cubique en papier craft coloré. À la vue de cette mise en scène, je me suis dit que les parents m’envoyaient un message comme quoi mon cadeau n’était pas donné et que je n’avais pas intérêt à négliger l’investissement que ça représentait pour eux. Soit, j’ai compris le message. Chacun ouvre ses cadeaux à tour de rôle, et vint mon tour. On me désigne l’ordre d’ouverture de mes cadeaux. Premier cadeau : Une Dualshock. OUI ! Tu as beau savoir que tu vas l’avoir, ça n’y change rien. Déchirer le papier-cadeau rouge et or que ma mère avait plié soigneusement pour découvrir cette manette grise dotée de deux étranges excroissances foncées en son centre, quel plaisir ! Je me souviens avoir observé cette manette, découvert les symboles qui ornaient ses boutons, tellement différente de la manette de la Saturn. Ensuite, mon frère m’invita à ouvrir un cadeau carré de petite taille, comme un boitier de CD audio mais en bien plus large, peut-être deux boîtiers dans le même cadeau? FAUX (pardon). Sous ce papier cadeau : Final Fantasy VII. Je savais que c’était le choix de mon frère, car je ne savais pas du tout ce qu’était ce jeu, et je me demandais si j’allais comprendre quelque chose à l’histoire vu que je n’avais pas joué aux six premiers épisodes. Mais je n’avais jamais vu un boitier aussi classe, et les images au dos de la boite donnaient tellement envie.

Puis vint le moment où on m’invita à ouvrir le gros cadeau. Moment d’excitation intense lorsque j’ai découvert cette grosse boite cartonnée gris métal, avec ce titre : PLAYSTATION. Un premier regard et je me suis dit que l’apparence de cette console faisait nettement plus enfantin que la grosse Sega Saturn noire. Là on avait des gros boutons ronds, une couleur aujourd’hui mythique mais rappelant la Snes, console du passé à l’époque. Mais rien à faire ! C’était MA console ! J’étais joie, et il me restait encore un cadeau à ouvrir ! Forme allongée, je n’avais aucune idée de ce que ça pouvait être. Je déchire le papier, et là, une télécommande noire. Pas compris. Je regarde l’objet pendant quelques secondes, et je demande « ah y’a même une télécommande Playstation?« . Et là je regarde mon frère pour vérifier si j’avais bon, et je le vois en train de jeter des regards insistants en direction du gros bloc de papier craft que je pensais n’être qu’un socle…

Nan ! Impossible ! Pas l’année où on m’offre une console! Et si. Ce n’était pas un socle, mais le camouflage de mon dernier cadeau : ma propre télé cathodique ! Ce soir là je suis devenu indépendant vidéoludiquement parlant. Bon du coup j’ai jamais eu aussi peu de jeux sur une console de toute ma carrière de joueur, mais mon frère a très rapidement remédié à ce problème en envoyant ma chère et tendre chez un de ses amis pour la trafiquer (et foirer ses soudures pour me la garder un mois de plus, au passage). À peine le temps de me remettre de mes émotions en serrant mes parents aussi fort que je le pouvais autour de mes petits bras de lâche, qu’on m’annonce qu’il faut retourner manger. Curieusement à ce moment-là, je n’avais plus très faim. Étonnant n’est-ce pas? Mais je suis resté sage, du moins en apparence, jusqu’à la fin du plat de résistance. Le gigot terminé, on m’autorisa à aller brancher la Playstation « pour voir si elle marche« , mais dans la chambre de mon frère, pas le temps d’installer ma télé. Je suis donc monté avec mon frère pour brancher la console et lancer le CD de démos proposé dans la boite. On allume la télé, on la branche sur AV, j’appuie sur le bouton On pour la toute première fois. Au départ, un écran noir; et puis un son.

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Aujourd’hui ce son rappelle beaucoup de choses aux nostalgiques, mais quand tu l’entends pour la première fois, c’est le futur. Une variante du son THX pour le cinéma. La compilation de démo s’est lancée, et comme je ne savais pas trop quoi prendre, j’ai lancé un jeu de course, un certain Gran Turismo. Et là ce fut une claque monstrueuse. Un réalisme que je n’avais encore jamais vu, des reflets sur les voitures, de la 3D d’une netteté incomparable à ce que proposait la Sega Saturn, et ma manette vibrait !! C’était fou ! Je me prenais un mur, je ressentais le choc sur ma manette. Waouweffect immédiat, je suis descendu en trombe dans le salon pour annoncer ma découverte à mon père.  Je crois que mon paternel, gros fanboy sega qu’il était, n’avait pas anticipé non plus l’effet Playstation. Et lorsqu’il prit dans ses grosses paluches le curieux pad Dualshock pour tester un circuit de cette démo de Gran Turismo, il a scotché. Il jouait pour la première fois à une simulation auto sur console, avec de vraies marques de voitures et  tout. À partir de ce Noël mon père n’a jamais lâché la série GT. Même ma tante, qui ne s’était jamais intéressée à ces jeux électroniques, était montée voir cette curiosité. Je me souviens de la voir bluffée (et un peu inquiète) devant tant de réalisme, et de lâcher la manette à la première vibration, trouvant cette feature extrêmement perturbante.

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Après cette mise en bouche, il fallait redescendre pour déguster le dessert. Et on ne dit jamais non à un gâteau au chocolat, surtout qu’à l’époque c’était toujours à moi qu’on filait les petites décorations sucrées et chocolatées. Une fois le gâteau dévoré à en avoir jusqu’au front, et alors que les adultes s’offraient un petit digestif en s’engueulant sur des sujets de société qui me dépassaient, nous nous sommes esquivés avec mon frère pour lancer ce fameux Final Fantasy VII. Là c’est mon frère qui a pris la manette et qui a fait le début du jeu. Une intro en images de synthèse se lance. Nos yeux s’écarquillent face à un tel niveau de beauté. Pour mémoire, la dernière cinématique en image de synthèse que nous ayons vu, provenait du Tomb Raider et du Night de la Saturn. De biens belles images certes, mais là on montait de plusieurs niveaux d’un coup. Et ce qui nous avait bluffé surtout, c’est le passage instantané de la cinématique au jeu, et le mélange des deux à certains moments qui rendaient cette découverte parfaitement ahurissante. Et quelle musique! Quelle entrée en scène dans cette histoire ! Le temps de battre le premier boss robot/scorpion et de se sortir miraculeusement de l’explosion de cette centrale, qu’il commençait à se faire tard, et nos invités allaient s’en retourner chez eux.

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Vint le temps de jeter les montagnes de papiers-cadeau déchirés, les bolducs entortillés, les bouts de scotch vagabonds, et les boites de Pyrénéen vides. Mes parents retirèrent leurs chaussures et se lovèrent dans leurs fauteuils noirs, soulagés que la soirée tant attendue se soit bien passée, et admirant le spectacle d’un Noël réussi à la lumière des loupiotes clignotantes du sapin.  On ignorait encore qu’on allait se taper la grande tempête de 99 l’hiver d’après, et que l’ambiance serait loin d’être aussi joviale. On profitait. La vaisselle attendrait le lendemain, le cristal des grand-parents séchera renversé sur les torchons étalés sur la table de la cuisine, on mangera du gâteau au chocolat à 11h et un sandwich au foie gras à midi avec un fond de Champomy. Mais pour l’heure, avant de se coucher, une ultime découverte tardive de cette nouvelle console, avec la démo de Kula World. Jeu de puzzle rigolo et coloré et sensation de vertige dingue pour le petit Anfa de l’époque. Mais à une heure pareille, c’était plus par gourmandise que porté par un véritable intérêt que je jouais à ça. Juste pour le plaisir de manipuler ces joysticks rugueux et de regarder régulièrement la manette pour savoir où se trouvait tel ou tel bouton. Quelques minutes supplémentaires et il me fallu quitter la chambre de mon frère et faire un gros bisou d’amour à mes parents pour ce noël inoubliable. Je n’ai que très peu dormi cette nuit-là, évidemment, trop excité d’imaginer le lendemain matin où je pourrais installer ma propre télévision rien qu’à moi dans ma chambre et y brancher ma propre console de jeux rien qu’à moi! Non mais imaginez un peu ! Non seulement j’allais avoir une Playstation dans ma chambre, mais j’allais aussi pouvoir brancher la Megadrive pour les périodes de vache maigre (surtout pendant le mois où on m’a privé de ma Psx pour la pucer). C’était dingue. C’est à partir de cette période que j’ai commencé à vraiment prendre mon temps pour apprécier un jeu et à découvrir des titres tout seul.

J’ai eu la chance de connaître bien des Noël mémorables, mais celui-là figure probablement à la première place. Je quittais l’enfance pour entrer doucement dans ma période adolescente, et cette indépendance vidéoludique a certainement joué un rôle important dans mes goûts d’aujourd’hui. Certains d’entre vous ont probablement eu un jour un magnétoscope rien qu’à eux dans leur chambre et se sont fait un plaisir d’aller au vidéoclub de leur patelin pour louer des VHS que seuls eux avaient envie de voir; d’autres ont eu une chaîne Hi-Fi ou un walkman et se sont fait leur propre culture musicale de leur côté de la même manière; et bien moi c’est pareil avec le jeu vidéo. Aujourd’hui on a troqué la soirée découverte pour la soirée installation et mise à jour, mais finalement une fois qu’on est dans le jeu, pour peu qu’on évite de ruiner l’instant en livetweetant sa découverte à renfort de phrases cyniques pour gratter quelques RT, le plaisir reste le même. Et en matière de jeu vidéo, il n’y a rien de plus excitant que de recevoir une console à Noël. Pour moi, c’était la Playstation. Et vous?

 

18 comments on “La Retro de Décembre par Anfalmyr

  1. Ffabyen dit :

    Une bien belle histoire. Comme quoi, l’ambiance générale (ici Noël) joue quand même beaucoup sur le ressenti et les souvenirs de certains jeux.

    Pour moi, le meilleur souvenir est celui de Noël 1991 (j’étais déjà entré au collège). En fait, j’avais assez d’argent de poche pour profiter d’une promo de décembre sur la megadrive « nue » : 790FF mais plus pour me prendre des jeux… Les jeux seraient donc pour Noël et j’avais choisi Sonic ainsi que Strider.

    J’avais installé la console sur une petite TV familiale. Mes parents avaient caché les 2 jeux je ne sais où et je ne pouvais donc pas y jouer. Aucun de mes amis n’avaient cette console donc pas moyen de l’essayer avant le réveillon. Sauf que… un matin où je descends le premier dans le salon, je vois la boîte de Sonic par terre, sous la table basse du salon, avec du chatterton disposé en croix sur une face… !? Je regarde sous la table et j’y trouve la boîte de Strider scotchée.
    Là, grand smile : je recolle la boîte de Sonic où je devine être sa place en pressant bien fort sur le ruban adhésif et n’en touche mot à personne.

    Ensuite dès que je pouvais profiter de quelques heures seul à la maison, je décrochais une boîte et jouais quelques dizaines de minutes. Cà n’a pas duré bien longtemps puisqu’un jour, je n’ai rien retrouvé sous la table basse. Je suppose que le chatterton a dû donner à nouveau des signes de faiblesse (je l’avais plusieurs fois manipulé) et que mes parents ont donc choisi une autre planque…

    Je connaissais donc déjà les premiers niveaux de ces 2 jours le jour J ! Ce qui ne m’a pas empêché d’en profiter toute la soirée avec le frèro et les cousin(e)s.

    1. Anfalmyr dit :

      hahahahah le petit filou !

  2. Zephirin dit :

    Formidable ta rétro du mois, on s’y croirait. Tu as fait ressurgir des tas de souvenirs enfouis. Merci à toi.

  3. Yetcha dit :

    Superbe rétro Anfalmyr, tout comme Zéphirin, j’y étais, même si en 98 j’attaquais pour ma part ma 4ème année de fac… Joyeuses fêtes à tous, moi j’ai enfin pu imposer ma 360 Star Wars sur l’étagère du deuxième salon, elle est branchée et tout, reste maintenant à caler mes 8 et 16bits… Pas gagné.

  4. Gobolz dit :

    Très cool cette Rétro de Décembre !

    Noël (avec les anniversaires) a toujours été l’occasion d’avoir de nouveaux jeux et consoles.

    Aussi loin que je me souvienne presque toutes nos consoles étaient partagées entre mon frère et moi. Notre première console de Noël a été la Nintendo NES.

    Mon père rentrait du boulot avant que mon frère et moi ne rentrions de l’école et avec notre oncle ils déballait la console tous les soirs pour jouer à Super Mario Bros et à Duck Hunt en cachette pour ensuite la REMBALLER et la planquer 😀

    Ensuite ma toute première console à moi c’était une Game Boy Color vert pomme que mes parents m’avaient offert pour mon anniversaire avec Pokémon Argent. J’ai du passer des centaines d’heures sur cette console et bien qu’elle ait salement vieilli (cache pile qui se fait la malle, haut-parleur HS, …) j’ai toujours cette console chez moi 🙂

    En revanche ce qui est dommage c’est que je ne serai jamais capable de me souvenir ni de retranscrire mes sensations à la découverte de tel jeu ou telle console…

  5. Olskool Slim dit :

    Excellent billet et toutes ces petites stories en commentaire sont magnifiques!
    Cas similaire pour moi fur celui de la Super Nes mais je la connaissais déjà donc pas une totale découverte

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