Procurez-vous le 3e numéro de « La Plag’ Retro » !!

Il vient de faire des rencontres avec quatre écrivains américains. C’est un homme https://40tude.fr/10203-alice-nevers-le-juge-est-une-femme-mauvaise-rencontre-streaming-26715/ aisé, détendu, avec un sourire de confiance dans l’univers et dans son futur. Aujourd’hui, le départ des élus et de les partenaires sociaux se fait à un moment où l’économie mondiale se décline entre l’accroissement des inégalités (au moins, par rapport à la moyenne du monde) et l.

C’est pour cela que nous demandons aux différents députés de leur. Pour une vision globale des rencontre moto les roches de moron Nkoteng relations internationales entre les pays. Dès l'été 2015, l'accord de principe était à peu près le même que celui des deux années précédentes.

Le réalisateur et directeur des films luc ferry avait une vraie passion pour les enfants. Nous voulons que cette pornographie, qui est un marché pour Al Mahbūlah site de tchat 100 gratuit tout le monde soit un marché à l’honneur. Avec le bruit d'un chasseur-cueilleur qui s'approche dans un passage de la rue saint-antoine et d'une petite échine de rue, le cinéma de la rue saint-antoine et ses jardins se transforma en jardin à bord d'un bateau, deux hommes sont entrés au bistrot de la ville.

Site de recherche de personne en france gratuitement. Aux états-unis, en france, en belgique rencontre sexe anglet et au canada, les cauchemars de géographes et de archéologues sont récurrents. Dès le 15 novembre 2017, l’assemblée nationale a approuvé l’initiative "les femmes, la lutte des sexes : l’avenir des femmes en france" et la création de la commission d'égalité des chances des femmes pour l’instauration de politiques d’accès des femmes aux emplois au niveau des institutions, des services de formation et des services de rémunération, afin d’améliorer la qualité des femmes et la protection de leur droit au travail et au logement.

C’est l’été sur La Caz’ Retro, et vous savez que l’été nous ne prenons pas de vacances ! Toute l’équipe de lacazretro.fr est donc très fière de vous offrir le troisième numéro de « La Plag’ Retro » !

Alors qu’est-ce que c’est que ce truc ? Et bien « La Plag’ Retro » est une initiative de notre bon MrBiskot qui avait envie de proposer cet été aux lecteurs du site un petit bonus, un petit magazine d’été rempli de jeux comme il est de bon ton d’arborer sur une plage de sable blanc avec un crayon au coin des lèvres.

Ni une ni deux, toute l’équipe s’est mobilisée pour créer le mag le plus « Cazeur » possible, quelque chose de drôle et décalé mais sans laisser de côté la qualité qui, vous le savez, est un point primordiale pour nous.

La Plag’ Retro c’est donc un mag totalement GRATUIT que vous pouvez télécharger sur le site, à imprimer selon vos moyens si vous voulez emporter le mag avec vous pendant vos vacances. Il est liiiibre le mag ! Pardon…

On espère que vous allez prendre autant de plaisir à le feuilleter qu’on s’est amusé à le façonner, n’hésitez pas à vous prendre en photo avec et à nous partager ça sur Twitter ou Facebook histoire de nous montrer jusqu’où « La Plag’ Retro » est lu !

Vous pouvez même l’offrir à vos amis ou l’abandonner volontairement à la terrasse d’un café ou sur une banquette de TGV, tous les moyens sont bons !

Vous pouvez retrouver également le premier numéro de « La Plag’ Retro » à cette adresse ou le deuxième ici.

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Retro Summer Hits

L’été est déjà là et le soleil pointe difficilement le bout de son nez, alors on a souhaité vous apporter un peu de chaleur avec une petite sélection de titres ensoleillés, ou tout simplement pour vous accompagner à la plage.

Cette playlist ne sera pas disponible sur le flux rss ou itunes.

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Playlist Retro Summer Hits

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Énigme Hors-Série #15

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Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 5 juillet date du quinzième hors-série et dernière émission de cette saison 5 de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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Énigme Épisode #91

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Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 21 Juin date de la quatre-vingt-onzième émission de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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Énigme Épisode #90

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Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 7 Juin date de la quatre-vingt-dixième émission de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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Comme nous sommes bon prince, nous vous offrons exceptionnellement
un indice supplémentaire à l’énigme. A vos méninges.

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La Retro de Mai par Anfalmyr

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Le mois dernier je vous parlais des suites, celles qui m’avaient marqué ou celles que je n’avais jamais faites. Et bien ce mois-ci j’ai envie de vous faire une sorte de suite de cet édito en vous parlant des suites de jeu jamais sorties. Vous savez, ces jeux que j’ai bien aimés et dont j’ai attendu la suite avec impatience, et qui finalement n’ont jamais vu le jour. Voire pire, les jeux qui ont eu une suite tellement éloignée de mes attentes que j’en attends encore aujourd’hui la véritable suite!  Alors comme en mai il parait qu’on fait ce qu’il nous plait, bah je vous propose la suite de l’édito d’avril.

Donc parlons des suites auxquelles on n’a pas eu droit. Evidemment cette liste ne concerne que mes goûts en fonction des jeux que j’ai fait, c’est logique, mais aussi de mon envie d’en voir une suite. Car il y a des jeux que j’ai adoré, rincé dans le moindre recoin, et dont l’expérience a été tellement satisfaisante que je n’ai jamais senti l’envie d’en voir une suite tant le jeu d’origine se suffit à lui-même. J’ajoute également que cette liste peut également contenir un épisode trois, ce qui est souvent plus frustrant que tout lorsqu’on souhaite une trilogie, une conclusion, et qu’on reste éternellement sur notre faim. Ou alors ça s’appelle Street of Rage 3 et on se dit que finalement s’arrêter à deux jeux n’était pas forcément une si mauvaise idée.

Ristar

ristarRistar, une de mes mascottes de plateformer préférées ever. Je ne saurais trop vous dire pourquoi, mais j’ai toujours eu énormément d’affect pour ce personnage, limite plus que pour son jeu. Un jeu de plateforme très honnête au demeurant mais dont on se souvient étrangement moins que des titres comme CoolSpot ou Bubsy. Et pourtant à y regarder de plus près je trouve beaucoup de simulitudes manette en main entre ce jeu de sega et le Rayman d’Ubisoft; au point que je suis persuadé que si Sega avait cru en sa petite étoile, il aurait pu avoir une carrière proche de celle du mécheux de montpellier. De l’aveux d’Akira Nishino, une suite avait été préparée à l’époque de la sortie du premier épisode, mais annulée par Sega très rapidement pour diverses raisons. Le fait est que le jeu est sorti au milieu d’une over-dose massive de jeux de plateformes à mascottes et il n’y avait pas de place pour une autre créature mignonne que Sonic visiblement. Et pourtant je pense très sincèrement que dispatcher les concepts de plateformers à divers personnages maisons aurait évité à Sega de faire faire tout et n’importe quoi à Sonic. Quand je vois des jeux comme Flickie’ Island ou même Sonic Lost World, je ne peux m’empêcher de penser que ce bon Ristar aurait totalement pu remplacer le hérisson bleu sur ces productions.

Landstalker

landstalker-the-treasures-of-king-noleQuand je commence à parler de Landstalker c’est qu’on commence à approcher l’idée du Merveilleux, de graviter autour du formidable Appel de l’Aventure. Landstalker a été mon jeu d’aventure des années 90, tout simplement. Un jeu à l’identité éminemment attachante, aux graphismes léchés et à la prise en main immédiate. Un aventure insulaire des plus dépaysantes qui aura été malheureusement un poil trop difficile pour que je le finisse à l’époque. Une difficulté surprenante compte tenu de l’aspect accueillant de ce titre coloré. On était loin de Light Crusader quoi. Mais en un seul jeu, Sega et Climax avaient réussi à créer une véritable franchise capable de rivaliser avec le Zelda de Nintendo, et pourtant… Et pourtant ce jeu n’a jamais eu de véritable suite, et c’est surtout ça qui m’hérisse le plus le poil. LadyStalker sur SuperFamicom, déjà, mais POURQUOI? Ensuite Dark Savior sur Saturn, que j’ai eu, reprend des principes mais n’est en rien une suite. Puis Alundra et TimeStalker… A chaque fois on gravite autour de Landstalker mais JAMAIS on ne sort une véritable suite à ce grand jeu de la Megadrive. Je suis colère.  Car Landstalker, malgré ses qualités, n’était pas exempt de défauts et il y aurait eu de belles choses à corriger sur une suite. Et puis ça aurait permis à Sega d’arrêter de créer trouzemille oneshot pour tenter de rivaliser avec Nintendo. Oasis, Soleil, je vous vois. Mais ça c’est finalement le grand paradoxe de Sega, qui a démultiplié les licences oneshot sans leur donner le temps ni les moyens de s’installer, et qui au contraire à tout miser sur une utilisation absconse d’un Sonic déjà essouflé.

Nomad Soul

MediaHandlerAvant que QuanticDream ne trouve son identité avec les mpar, il y eu Nomad Soul. Nomad Soul, le jeu de pécéistes dans toute sa splendeur. Environnements ouverts, jeu d’action multi-genre caractéristique du début du 21ème siècle, univers futuriste aux ambitions matures incontestables. Le premier essai du studio de David Cage avait réussi à faire du bruit à sa sortie, et lorsque je l’ai eu sur Dreamcast, j’ai été particulièrement séduit par ce jeu. Je le voyais comme le jeu idéal à faire en attendant la sortie de Shenmue la même année. Jouer à Nomad Soul sur DC n’était pas forcément la meilleure façon de profiter du jeu mais j’ai parcouru cette aventure avec beaucoup de plaisir. J’ai adoré le sentiment de liberté offert par le jeu, le concept d’être mon propre héros errant d’âmes en âme dans cet univers parallèle, etc… En revanche je me sentais bien mieux dans le style jeu d’aventure 3D mêlé d’enquêtes plutôt que dans ce mélange un peu batard de différents styles de jeu qui n’étaient pas vraiment maîtrisés les uns par rapport aux autres. Mais comme l’univers proposé était intéressant et l’immersion dans cet Omikron ma foi fort réussie, j’aurais adoré me plonger dans une suite du jeu qui aurait corrigé les quelques défauts de jeunesse de ce premier jet.

Toy Commander

GUTHY_TOYSPremier jeu Dreamcast d’un Noël mémorable , Toy Commander est le jeu qui m’a fait entrer dans l’ère 128bits, et forcément ces jeux-là vous laissent un souvenir impérissable. Je ne savais même pas à l’époque que c’était un jeu de Frederick Raynal pour tout dire, et je m’en foutais complètement. Tout ce qui m’importait c’était que c’était mon TOY STORY THE GAME !! Parcourir les pièces de la maison de cet enfant avec des micro-machines étaient purement jouissif. J’y retrouvais le plaisir que j’avais eu sur le MicroMachines 2 ProTournament de ma Megadrive; et à l’instar du jeu de Codemasters, ToyCommander a été un incontournable du multijoueurs sur Dreamcast ! Un multi à quatre joueurs à s’affronter avec des jeeps, des tanks et des avions armés de crayons de papier, parcourant la table de la cuisine ou le bazar de la chambre d’enfant… Un jeu tellement culte à mes yeux que j’avais gravé au canif’ sur le mur de ma chambre à côté de mon lit « Toy Commander 2 sur Dreamcast 2 » ! C’est vous dire si j’étais fan – et visionnaire. Le pire c’est que le jeu a eu en quelque sorte un deuxième épisode sous la forme d’un jeu de course avec Toy Racer, mais outre le fait qu’il s’agissait d’un jeu de course particulièrement médiocre, c’était également tellement loin de mes attentes sur un véritable 2ème épisode. J’aurais tellement aimé une véritable suite avec un scénario encore plus mis en avant et l’ouverture du terrain de jeu au jardin de la maison.

Tourist Trophy

1345699737Alors que la série Gran Turismo a perdu de son aura au fil des ans et de l’incapacité de Polyphony a sentir les attentes des joueurs, l’équipe de Kazunori avait lancé une nouvelle franchise sur PS2 en 2006, Tourist Trophy, le « Gran Turismo de la Moto » et c’était vachement cool ! Moi qui déteste les jeux de moto, là j’étais totalement rentré dans le trip, préférant d’ailleurs la vue intérieure aux sensations exemplaires. Le jeu avait un contenu un peu chiche mais il reposait sur tous les assets de GT4 qui était, si besoin est de le rappeler, un super épisode ultra complet. Même si aujourd’hui le jeu aurait été désigné comme un DLC à Gran Turismo 4, j’ai toujours eu cette frustration de ne pas voir Polyphony Digital tenter de transformer l’essai avec une véritable série parallèle. Tourist Trophy reste encore aujourd’hui la meilleure expérience de jeu de moto que j’ai pu avoir en terme de sensations de vitesse et de physique du corps. Si vous ne l’avez jamais fait je ne peux que vous conseiller de vous le procurer dès que possible.

Kid Chameleon

kidchameleon01Kid Chameleon, le jeu des speedrunners avant l’heure. Un mario pour hardcore gameurs masochistes en mal d’injustice et de souffrances gratuites. Je connais très peu de joueurs de Megadrive n’ayant pas eu ce jeu. C’est très étonnant car tout le monde semble s’accorder pour dire que c’est un des jeux les plus durs de leur ludothèque MD. De plus le jeu dégage une atmosphère volontairement dérangeante; donc pourquoi sommes-nous si nombreux à l’avoir eu ? J’ignore de le savoir. Ce que je sais c’est qu’il avait une des plus belles jaquettes de son époque – un point à ne pas négliger – et que son design crado et son système de casque me plaisaient assez pour que je le lance assez régulièrement. Et pour vous dire la vérité, quand j’étais gosse, je n’étais jamais allé assez loin pour voir la tronche du grand méchant ! Alors que bon, aujourd’hui, à part les niveaux à scrolling automatique qui me filent encore des boutons, le jeu est assez bien pensé pour qu’on passe outre ses intempestifs pièges. Mieux, j’ai pu découvrir tout l’aspect speedrun du jeu au fil des ans, et il faut reconnaître la jubilation de voir les joueurs troller un jeu conçu à la base pour les troller eux. Kid Chameleon était bancal, il n’était pas très beau, il était mal foutu en bien des endroits, mais l’idée était là et il y aurait eu de belles choses à proposer sur une suite. Mais bon, encore une fois chez Sega, on tente une fois mais on transforme jamais l’essai.

Skies of Arcadia

FA_illustration_00078Aujourd’hui la simple énonciation de ce titre suffit à meurtrir le cœur de nombre de joueurs ayant goûté à ce qui aurait dû devenir la nouvelle grande série de RPG de chez SEGA. Hélas, trois fois hélas, il n’en sera rien et nous resterons dans la frustration de l’hypothèse, dans le marasme de la nostalgie, et dans la folie de l’attente. Qu’on se le dise, lorsque la Dreamcast était seule dans le jardin des 128bits, tous les joueurs sega attendaient que le constructeur nourrisse sa console de remplaçants de qualité à toute la ludothèque Playstation. Car l’heure n’était pas aux tergiversations, il fallait couper l’herbe sous le pied de Sony et convaincre nos amis qu’il ne fallait pas attendre la PS2 car la Dreamcast proposait des jeux ultra beaux et des genres variés. La PSX fut une découverte pour tout le monde, son flot de nouvelles franchises ayant attiré un nouveau public et ramené au pad une génération qui avait délaissé le jv pour aller rouler des pelles sur les bancs de la fac. La bataille devait être digne du Blitzkrieg pour avoir une chance de garder bonne figure à la sortie du monolithe noir de Kutaragi. Il nous fallait un Gran Turismo – MSR fera largement l’affaire – tout comme nous avions besoin d’un FIFA – et c’est là qu’on va prendre très cher avec le snobisme d’EA – et un Final Fantasy. Et là on a été particulièrement gâté puisque d’un côté la série historique Phantasy Star s’est orientée vers le multi pour nous faire découvrir un autre univers, et de l’autre une toute nouvelle franchise solo a vu le jour, et quelle franchise ! Skies of Arcadia. L’anecdote marrante concernant ces deux jeux étant que le développeur historique de Phantasy Star – Overworks anciennement TeamShinobi, des tueurs quoi – sont en charge de Skies of Arcadia tandis que la mouture online de leur série est confiée à la Sonic Team. Et d’après ce que j’ai pu lire à droite et à gauche, Eternal Arcadia était à la base le fameux cinquième épisode de la série Phantasy Star. Enfin bref, je ne vais pas vous saouler plus longtemps avec cette genèse, on est là pour parler de ma frustration de ne jamais avoir pu jouer à une suite de ce jeu, et c’est une frustration qui me suit encore aujourd’hui ! Ce jeu était formidable, dans sa direction artistique, dans ses musiques extraordinaires, dans son système de jeu ma foi simple à comprendre et agréable à développer. Son univers de pirates du ciel, d’îles flottantes sans crème anglaise et de base à custom’ selon ses goûts, ses batailles aéronavales… Ce jeu n’inventait rien en particulier mais il faisait tout de manière intelligente de sorte que son expérience globale était des plus satisfaisantes. À ce titre j’aimais particulièrement l’idée de faire bouger les personnages dans l’arène de combat, très bonne idée pour apporter un dynamisme visuel à ces combats au tour par tour jusqu’ici toujours statiques. Voilà, des idées qui ne mangent pas de pain mais qui permettent d’apporter des propositions sur l’évolution 128bits du J-RPG. Skies of Arcadia n’a pas eu besoin de grosses cinématiques en CGI ni de personnages réalistes pour nous plonger dans son univers, son immersion était sa plus grande force, et Sega avait une nouvelle fois apporté une flèche de qualité à son arc… Pour mieux nous frustrer en ne s’en servant pas.

Hidden & Dangerous 3

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Ce screenshot a 13 ans, imaginez la claque à l’époque.

Pour finir j’avais envie d’évoquer un titre qui devait voir le jour et qui finalement restera dans les cartons du papa de la série MAFIA : Hidden & Dangerous 3. J’ai découvert la série sur Dreamcast, armé du combo clavier-souris de Sega; jeu acheté par mon frère ayant vu la sauce monter du côté du PC chez ses amis. Et comme à l’époque nous n’avions pas d’ordi à la maison, on s’était rabattu sur le portage console. H&D c’est un peu une version 3D de la série Commando. Un jeu de stratégie-infiltration en équipe se déroulant durant la seconde guerre mondiale; où nous devons gérer une escouade de commandos dans une série de missions contre le troisième Reich. Les missions étaient variées, les objectifs exigeants, et la préparation tactique essentielle. Une des particularités vraiment cool de ce jeu était qu’on devait gérer son équipe et les équipements qu’on leur attribuait, et que la mort d’un personnage était irréversible. Un membre de ton groupe mourrait sur le terrain, il fallait continuer sans lui – et sans le contenu de son sac à dos, perdu à jamais – une vraie tension se créait à partir de ce principe de permadeath. La série avait monté d’un cran avec le deuxième épisode, aussi bien sur le plan technologique que dans son gameplay plus confortable. J’ai passé énormément de temps sur H&D2, cette fois-ci sur PC (quel coffret classieux en plus!). La série d’Illusion Softworks avait corrigé nombre de ses précédents écueils, et une troisième et inévitable suite était en préparation, teasant des nouveautés qui me faisaient baver à l’époque. Décors destructibles pour apporter plus de choix et d’immersion dans le déroulement des interventions, personnage principal unique pour ajouter à la série une narration dont elle manquait cruellement… Tout allait bien dans le meilleur des mondes. Et puis rien. Ou plutôt « et puis Mafia ». Mafia est devenue une série importante pour le fraîchement nommé 2KCzech, et Hidden & Dangerous a sombré dans les limbes avec toutes les autres séries sur la seconde guerre mondiale. Et c’est bien dommage car au milieu des Medal of Honor et Call of Duty de l’époque, H&D avait cette part supplémentaire de tactique et d’intransigeance qui le démarquait nettement de la concurrence.  Et puis, Robin des Bois Smedley quoi.

C’est sur cette liste sans ordre particulier que je vous laisse, j’aurais pu parler évidemment d’autres titres mais comme je le disais en intro il y a des jeux que je n’ai jamais fait – comme Eternal Darkness – sur lesquels je ne peux bien sûr pas me prononcer, ou des jeux où je ne trouve pas l’apport d’une suite très pertinente, comme Ico ou Gynoug. Mais maintenant c’est à vous de me parler des jeux qui vont ont plus à l’époque et qui ne vous ont jamais gratifié d’une suite ! À vos claviers, j’attends vos suggestions !

Énigme Épisode #89

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Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 24 Mai date de la quatre-vingt-neuvième émission de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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Énigme Épisode #88

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Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 10 Mai date de la quatre-vingt-huitième émission de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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Énigme Épisode #87

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Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 26 Avril date de la quatre-vingt-septième émission de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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La Rétro d’Avril Par Anfalmyr

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DE LA SUITE DANS LES IDÉES

Comme le dit le proverbe, « En Avril, ne te découvre pas d’un fil ». Et comme le fil de mes pensées a de la suite dans les idées, je me suis dit que ça serait l’occasion parfaite pour en parler; des suites. Et puisque Voltaire a dit, « je ne connais pas de sérieux ici-bas que la culture de la vigne »; Avril était donc le mois idéal pour en parler. 

Pendant que certains continuent avec force de persévérance à tenter de déchiffrer mon introduction, penchons-nous donc sur mon passé forcément subjectif lié au concept des suites vidéoludiques. Pour les uns c’est un moyen évident de transformer l’essai avec un premier jet limité, pour d’autres c’est une solution de facilité qui bride la créativité et crache sur vos mères (à peu près). Aussi curieux que cela puisse paraître, je me suis rendu compte que je n’étais, enfant, absolument pas sujet à l’attachement pour une licence ou une franchise. Sauf cas particulier, il y a énormément de suite que je n’ai pas faite, et pas juste parce que je n’aimais pas le premier épisode. Mais histoire de cadrer ce sujet particulièrement vaste et gourmand, on va essayer de séparer tout ça en différentes catégories et je me contenterai évidemment de n’évoquer que les jeux qui me parlent et sur lesquels j’ai des choses à dire.

LES SUITES QUI M’ONT MARQUÉ

00217787-photo-half-life-2Entendons nous bien, quand je parle de suites qui m’ont marqué, ce n’est pas forcément en bien. Et pour éviter de balancer trop de noms à la volée, je vais me restreindre au deuxième épisode, parce que sinon je parlerai de FF12 et on va y passer la nuit. Commençons par une petite douche froide et la sortie de Syphon Filter 2. Je suis un des rares gosses à avoir bavé comme un dingue sur les pauvres screens précédant la sortie du tout premier Syphon Filter, et le premier fou en France à avoir commandé le jeu chez ScoreGames une fois la démo bouclée une bonne vingtaine de fois. Pour moi c’était un peu Metal Gear Solid mais sans cerveau, donc un jeu idéal pour moi. C’est d’ailleurs marrant de voir qu’à l’époque on essayait de le comparer avec MGS ou TombRaider quand aujourd’hui on parlerait d’un TPS parfaitement lambda. Mais voilà, j’ai adoré ce jeu, et j’ai acheté day-one la suite qui tenait cette fois-ci sur 2 Cds (pour un jeu doublement bien forcément). Et ce fut une bien belle déception. Je n’ai pas aimé le jeu, je l’ai trouvé beaucoup trop poseur voire prétentieux, peu compréhensible par moment, sacrifiant le plaisir simple de défoncer les méchants au taser jusqu’à leur faire prendre feu, pour des séquences hachée faussement cinématographiques. Yeerk.

Je pense également au SIMS 2 qui fut une bien bonne surprise pour moi. Je jouais peu au premier épisode, mais bon il figurait sur mon PC comme tous ces jeux que tu lances une fois par an quand l’envie te prend d’on ne sait où (c’est encore plus le cas aujourd’hui avec les réseaux sociaux où on se retrouve comme avec une fringale vidéoludique créée par simple évocation). Et sur ce deuxième épisode des Sims, tout avait évolué dans le bon sens selon mes goûts, et le jeu était ultra complet et techniquement irréprochable, en revanche j’ai tiqué comme beaucoup face à la politique des trouzmille addons, qui m’a fait décrocher de la série dès ce deuxième épisode. Autre suite attendue qui ne m’a pas déçu non plus : HALF LIFE ² ! Oh mon dieu. Alors pour nous remettre dans le contexte, je n’ai pas fait HL1 tout de suite à sa sortie, j’ai dû attendre d’avoir un PC à la maison, c’est à dire en 2001, pour pouvoir me le faire (le premier jeu installé sur le pc, je vous jure). Un premier épisode que j’avais sur-adoré mais que je n’avais pas réussi à terminer. Le deuxième épisode approchant, j’ai demandé à mon frère de m’expliquer la fin du premier, et lorsque j’ai lancé le tant attendu HL², la claque incroyable. Même feeling et pourtant tout avait changé. 2004 a marqué à mes yeux l’arrivée de la 7ème génération vidéoludique, entre DOOM 3 et Half Life 2, le monde du PC avait donné le la et leur niveau de qualité n’allait pas être particulièrement inquiété sur toute la génération de consoles à venir tant la barre fut placée haute. La suite des aventures de Gordon Freeman fut une aventure de joueur également, avec ces multiples gameplays se succédant et donnant à chaque acte un ton différent, sa physique incroyable, le design singulier apporté par Viktor Antonov… Ce jeu est un miracle. C’est rare qu’un jeu aussi attendu arrive à faire l’unanimité à ce point.

tumblr_marbboszcR1r1ndqkJe me permets de tricher également en mentionnant Silent Hill 2, l’extraordinaire Silent Hill 2, que j’ai fait pourtant bien tard, en achetant la version collector [qui n’en est pas une] en occasion à 15€ en 2010. Je savais que ce jeu était culte pour les fans de survival, j’avais joué au premier épisode à l’époque mais vraiment pas longtemps car il me dérangeait profondément. Et lorsque je suis tombé par hasard sur ce deuxième épisode, j’avais à ce moment-là une maturité qui m’a permis de véritablement entrer dans ce – n’ayons pas peur des mots – chef d’oeuvre de la PS2. Mais j’ai joué à un jeu qu’on m’avait déjà annoncé comme culte, je n’ai pas pu avoir le même ressenti que ce que les joueurs ont vécu à la sortie de la PS2 et qui a fait le culte de la série sur cette génération-là. Je n’ose imaginer ce que j’aurais pris dans la face si j’avais fait partie de ces joueurs.

Max Payne 2 a également marqué mon passé vidéoludique, même si je n’ai absolument pas pris la même claque qu’avec le premier. Le jeu n’a jamais réussi à être surprenant au contraire d’un Half Life 2 sorti l’année d’après. Mais je me souviens de cette boite cartonnée blanche particulièrement classieuse et ce moteur très léché qui a permis de se passer de la tête constipée de Sam Lake (que j’adore hein). Mais reste malgré tout une légère déception d’une suite facile, de qualité mais pas mémorable.

Autre suite marquante, Hidden & Dangerous 2. Comme Max Payne, un premier épisode fait sur console, et la suite sur PC. Une suite particulièrement bonne, techniquement bluffante pour l’époque, avec une profondeur de jeu assez dingue. H&D c’est typiquement la série qui ne pouvait que se bonifier avec l’avancée technologique, et même si elle se contentait de faire un peu mieux que l’original (comme Max Payne), il y avait malgré tout énormément de travail sur l’aspect shoot du jeu. Le premier était un jeu d’infiltration où le moindre bourinage était un aveux d’échec cuisant; alors que le deuxième avait réussi justement à utiliser ces phases comme des phases plus dynamiques. Et sinon, comme le premier, un jeu blindé de bugs.

jetsetradiofuture1Pour finir sur cette partie, j’aimerais parler également de Jet Set Radio Future. Premier jeu que nous avons eu sur Xbox, c’est vous dire à quel point on le voulait ce jeu. Je ne garde pas vraiment un grand souvenir de cette suite. Elle est mieux finie que le premier JSR c’est incontestable, mais je n’ai pas accroché à son ambiance. C’est con hein, peut-être était-ce mon humeur moribonde du fan de Sega obligé de jouer à des jeux Sega chez la concurrence, comme quand tu commandes une pizza dans une crêperie – paye ton analogie – mais je n’ai pas eu la sensation de jouer à un JSR2. Et puis moi le gameplay du premier ne m’a jamais trop dérangé, à part sans doute la caméra qui faisait nawak; mais comme à l’époque je finissais pas les jeux qui m’ennuyaient, et que celui-là je l’avais fini ET recommencé, c’est que quelque part on s’était trouvé lui et moi.

LES SÉRIES QUE J’AI DÉCOUVERTES PAR UNE SUITE

final-fantasy-7Bien entendu il y a des évidences comme Final Fantasy VII, comme beaucoup de joueurs de ma génération ce fut notre premier contact avec la série de Sakaguchi, contact qui nous a amené par la suite à découvrir les épisodes antérieurs de la série. Je me souviens de ma réaction lorsque j’ai eu le jeu en même temps que ma Playstation lors d’un Noël mémorable, je pensais que c’était un faux numéro, comme Star Wars Episode IV. Et quand j’ai découvert qu’il existait six autres épisodes jamais sortis en France, je me suis dit « mais c’est complètement débile on va rien comprendre à l’histoire! ». Je me demande d’ailleurs combien de parents ont renoncé à offrir ce jeu à leur gosse en prétextant « mais t’as pas fait les autres chouchou ! faut les faire dans l’ordre sinon ça n’a pas de sens! ». Mais des séries que j’ai commencées par une suite il y en a plein en fait. Et bien souvent parce que le succès du premier a fait que la sortie médiatique du deuxième épisode a été bien plus forte. Je pense notamment à Tony Hawk Pro Skater 2 en vous renvoyant cordialement au podcast qu’on lui a consacré, tout comme Road Rash 2 ! Ou plus bêtement la série des Elder Scrolls que j’ai commencé comme beaucoup par Morrowind sur PC. Quel plaisir de découvrir ce jeu sur un PC flambant neuf, le plaisir de se perdre dans cet environnement, et de découvrir la sauce Elder Scrolls qu’on connait encore aujourd’hui.

fanart-metal-gear-solid-par-C780162-lap-pun-cheung-s-01Trichons un peu et parlons de Metal Gear Solid ! Troisième épisode de la série Metal Gear. Trichons car à l’époque je n’en savais rien, et j’ai envie de vous dire « heureusement! » car le gimmick de l’éternel recommencement de ce bon Kojima n’aurait pas eu le même impact sur moi à la sortie MGS si j’avais été dans la confidence. J’ai donc découvert la série par ce MGS, et même si mon préféré reste le fabuleux Snake Eater, je me souviens de week-ends avec mon frère à vivre ce MGS dans ma chambre – la psone était à moi mais le jeu était à lui – et à être souvent surpris par ce qu’il proposait tant on avait pas vu ça auparavant. On évoque souvent la PSone comme la console qui a ouvert le jv au grand public – et c’est vrai – mais on oublie souvent l’avalanche de titres japonais édités en PAL, et que n’avons-nous pas découvert chez moi comme univers et idées de gameplay à cette époque !

Je pourrais vous parler également de Street Fighter, évidemment, ou de la série des MicroMachines dont je n’ai eu que le MM2 Pro Tournament (un jeu culte sur lequel on a fait un live vidéo, ici ) et qui reste à mes yeux un des meilleurs jeux multi offline de tous les temps. À noter également Warcraft que j’ai commencé par le 2ème épisode, et encore aujourd’hui je n’ai JAMAIS lancé le premier. Mais comme on le disait dans notre podcast consacré au jeu, ça fait partie de ces genres sur lesquels il est difficile de revenir tant les codes et techniques évoluent et que revenir sur un ancien épisode s’avère aride.

LES SUITES QUE J’AI JAMAIS FAITES ALORS QUE J’AI AIMÉ L’ÉPISODE D’AVANT

Tomb_Raider_II_-_1

Comme je le disais, il y a effectivement des jeux que j’ai aimé, sur lesquels j’ai passé énormément de temps, et pourtant je n’ai jamais fait la suite, ou du moins pas dans la foulée. Je ne saurais vous expliquer pourquoi, alors qu’on pourrait se dire que dans ce contexte d’enfance où on n’achète pas tous les jeux qui nous font envie, un gamin serait tenté de se poser sur une valeur sûre. Le fait est qu’aujourd’hui j’ai une culture gaming assez variée, sans doute parce que je ne me suis pas contenté que d’une poignée de licences à essorer dans ma jeunesse, allez savoir. Et pour commencer petit j’aimerais évoquer Tomb Raider 2, très simplement. Et le plus dingue c’est que j’ai eu le troisième épisode. C’est à n’y rien comprendre. On avait le premier épisode sur Sega Saturn, et c’est un jeu que j’appréciais énormément, mais son exigence et sa difficulté ont fait que, enfant, je m’attardais bien souvent dans le manoir des Croft, endroit beaucoup plus safe pour le jeune péon que j’étais. C’est certainement pour ça qu’on ne s’est pas risqué sur un deuxième épisode sorti très vite et qu’on s’est dirigé vers un autre titre/genre/vache/cochons/couvées. De plus, Lara était devenue LA grande icône du médium en un seul jeu, et la sortie médiatique du deuxième épisode était des plus rébarbative.

 

gwp_dmc2_1_3Notons également Devil May Cry 2, et d’après ce que je lis à droite et à gauche, je n’ai pas manqué grand chose. Je me souviens qu’on m’avait prêté le premier épisode en échange d’un autre titre de ma ludo ps2, et je m’étais surpris à adorer ce jeu, tant ce n’est pas un genre que j’affectionne. Mais quand un jeu est bon, nerveux, rythmé, tout ce que tu veux; même quand c’est pas ta came de prime abord, tu te laisses prendre au jeu – c’est le cas de le dire – et ce DMC m’a captivé pendant une bonne semaine. Il m’a fait si forte impression que j’ai dû prendre une pause vidéoludique de quelques semaines après l’avoir bouclé tant les autres sorties me paraissaient molles après cette expérience. Et malgré tout, je ne me suis absolument pas intéressé au deuxième épisode. Je ne pense pas que ça soit à cause des problèmes du jeu à proprement parler, car j’imagine que la visibilité du jeu et l’attente suscitée étaient particulièrement fortes à ce moment-là, mais j’ai pris ce DMC comme une expérience unique, un one shot parfaitement jouissif et qui me suffisait en l’état.

Autre résurgence du fan de Sega endeuillé avec Headhunter Redemption, suite du très bon Headhunter sur DC. J’ai tout simplement boudé ce jeu. Je ne m’y suis pas intéressé. À cette époque j’étais sur GTA San Andreas, Half Life 2 ou MGS3; alors un jeu de milieu de gamme au milieu de titres cultes, c’était évident qu’il allait passer à la trappe. Notons d’ailleurs que le studio Amuze a fermé ses portes l’année d’après et n’aura signé que les deux épisodes d’Headhunter au cours de son existence. Même configuration que pour Tomb Raider avec SONIC 2 que je n’ai jamais eu et jamais fait. En fait les Sonic chez moi c’est à intervalle régulier. J’ai pas eu le 2, j’ai pas eu Sonic & Knuckles, et j’ai pas eu Sonic Adventure 2. J’en fais un sur deux en fait, peut-être pour me donner le temps d’oublier – c’était facile – alors que la jaquette du 2 est à mes yeux la plus classe de toute la trilogie megadrive. J’ai eu le même saut de mouton avec la série DOOM puisque le 2 est le seul que je n’ai jamais pratiqué.

Et puisqu’on est bien chez Sega, autant évoquer Dynamite Cop, ou Dynamite Deka 2, la suite de l’excellent Beat them all « Die Hard Arcade ». Un bta qui a été pour moi et mon frère notre première expérience 3D de ce genre roi de la 2D; une proposition intelligente et vraiment fun à prendre en main. Sa suite semble encore meilleure, et s’intègre parfaitement à l’état d’esprit 100% arcade de la Dreamcast, et pourtant je suis passé totalement à côté, et ce encore aujourd’hui. Une tare que je ne désespère pas de corriger dans un futur proche.

Bien sûr j’aurais pu parler de Deus Ex 2 , StarFox 64 ou Zelda 2, ou tant d’autres qui vous ont certainement marqué, mais soit je ne les ai pas fait, soit j’avais pas vraiment envie d’en parler pour de multiples raisons qui me sont propres et j’estime que chacun a droit à son jardin secret. Tu auras probablement remarqué, toi qui me lis – et je t’en remercie – que cette rétro d’avril était remplie de folles envolées que tu n’as pas toujours comprises. Et bien sache qu’il s’agit d’un texte crypté, et que si tu parviens à casser son code, tu pourras trouver les titres des jeux que nous traiterons jusqu’à la fin de la saison ! À toi de voir ce que tu feras de cette découverte, si tu la garderas jalousement pour toi ou si tu voudras en faire profiter le plus grand monde. En tout cas, bonne chance à toi, ou félicitations, si bien sûr tu viens de craquer un code que j’ai passé une semaine à mettre en place.

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