Énigme Épisode #109

Site de rencontre plan cu gay dans la langue de molière : « qui sait, les gens ont une certaine tendance à penser que ceux qui vivent en couple ont une bonne cause d'être prêts à partir ensemble. L'état https://t-trak.fr/96509-rencontre-homme-serieux-flers-8515/ n'a jamais cessé de s'affirmer comme une grande réforme. D'un point de vue institutionnel, c'est vrai, mais aussi en réalité, les mots de cette époque ont une importance majeure.

Cette déclaration du roi n’est pas le fruit d’un référendum. En décembre 2014, il a reçu epigrammatically zane sex chronicles l’accueil de plusieurs centaines d’anciens amis de la cité-des-puces, notamment de son ancien collègue pierre péloquin. Le couple est en quête de mots pour exprimer la sexualité et de l'affection qu'elle cherche à trouver.

Il y a de quoi s'interroger sur les préoccupations, en l'occurrence, du sexe dans les enfants : c'est un sujet délicat. La majorité des maires n'a pas voté contre ces deux textes, Natal huge black gay alors nous avons un nouveau vote de non », a déclaré l'élève à l'afp à l'automne. Il s’agit du plus grand département d’une région de l’ensemble de la france.

Nombre d'entreprises, et aussi de politiques, ont voulu, et ont eu l'occasion de le faire, s'y prendre avec la certitude que l'on pouvait développer un marché intérieur, et que l'on était. Il faut brest annonce rencontre Bandar Labuan être francophone pour faire une ronde avec une femme ou avec une fille. La france est une véritable référence pour les recherches et les renseignements.

Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 6 juin date de la cent-neuvième émission de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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[mM] l-après

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Yop les gens !

 

Résumé des épisodes précédents :

Notre cher soldat/zombie a fui Doom pour créer sa propre armée dans le but d’éradiquer les supers gentils.

Il avait installé sa base dans le manoir de Resident Evil et embauché des scientifiques de Half life pour l’aider à mener sa quête à terme.

Sauf que ces derniers ont tenté une expérience qui n’a pas eu les conséquences souhaitées : En voulant rendre les méchants gentils, il a inverser la tendance aussi de l’autre côté.

Tous les héros de jeux vidéo sont devenus méchants et sont partis à la poursuite des méchants, logiquement devenu gentil.

Mais d’après un des scientifiques, il existe une solution qui pourrait régler le problème : finir un jeu, ce qui le rebooterai et remettrai tout à zéro…

Après plusieurs tentatives, ils finissent par atterrir dans Street of rage et comme tout est inversé, le soldat/zombie élimine les 3 héros du jeu pour le terminer….

On approche du but !

Voilà pour le résumé, passons à la suite de l’histoire…

 

[mM] l’après

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A SUIVRE…

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La Retro de Mai par Anfalmyr

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Ce mois-ci j’ai eu l’immense plaisir de jouer et terminer Final Fantasy XV. Et alors que je voyais le générique de fin de ce titre atypique défiler devant mes yeux, je me suis fait la réflexion suivante : j’ai quand même eu de la chance d’être ado à l’époque des Final Fantasy Playstation.

Comme beaucoup de joueurs français, j’ai découvert la série Final Fantasy avec le 7ème épisode sur Playstation. J’ai par la suite acheté presque tous les épisodes de la série, et c’est même grâce à la trad FR de Final Fantasy VI que je me suis lancé dans l’émulation. Oh je vous rassure, ce n’est pas avec Final Fantasy que j’ai découvert le RPG. J’avais déjà tâté de quelques titres sur les consoles SEGA, comme Shining in the Darkness, Shining Force, ou encore Ultima IV sur Master System (qui était super moche mais la jaquette me faisait rêver). J’ai reçu Final Fantasy VII pour le Noël où on m’a également offert une Playstation. J’en ai déjà parlé dans une précédente rétro, mais c’est un jeu que mon frère avait vu tourner chez des amis à lui et il me l’avait vendu comme un truc de malade qu’il ne fallait surtout pas louper. J’ai au final très peu joué à FF7, je n’ai jamais dépassé le premier CD pour être précis. Mais j’ai passé des heures à regarder mon frère jouer. Ce n’était en rien une expérience frustrante, car je trouvais le jeu un peu trop dur pour moi et ça me plaisait de pouvoir suivre l’histoire, admirer ces paysages incroyables et baver devant ces scènes cinématiques du futur. Et puis qu’il était long ! À cette époque je ne terminais que très peu de jeux, j’y jouais quelques heures, je m’amusais comme un fou, mais au bout d’un moment mon esprit vagabond avait envie de passer à une autre expérience, et comme ce qui est loin des yeux est loin du cœur, je ne ressentais jamais le besoin de retourner sur ma partie en cours.

Mais très peu de temps après – j’ai eu ma Playstation pour noël 98 – les magazines que nous lisions, Console+ et depuis peu Playstation officiel, commençaient à nous teaser avec force d’insistance sur un blockbuster comme on en avait jamais vu dans le monde du jeu vidéo, un certain Final Fantasy VIII. FF7 avait fait beaucoup de bruit lorsqu’il était sorti en France c’est indéniable, mais il n’y a rien eu de comparable à la sortie de FF8. C’était hallucinant. Jamais un studio n’avait pu aller aussi loin, on ne pourra jamais faire mieux, piochez dans la liste des superlatifs de communiqués de presse et vous aviez une attente bouillonnante autour de ce huitième épisode. Une attente qui devint pour moi insoutenable le jour de la sortie du Hors-Série Final Fantasy 8 de Playstation magazine avec le CD de démo d’UNE HEURE du jeu. Pour l’anecdote il faut savoir que la quasi totalité des magazines que nous avions à l’époque sont passés au feu lors d’un été (pour faire de la place dans le grenier comme disait mon père). Tous? Naaaaaan. J’ai pris soin de conserver ce fameux numéro Hors-Série que j’ai toujours aujourd’hui. Quand je vous dis que ce numéro m’a marqué. Je pense sincèrement avoir lancé cette fameuse démo de Dollet plusieurs dizaines de fois. Le jeu me paraissait dingue à tant de niveaux. Je rentrais à cette époque dans ma période adolescence, et c’était à mon avis le moment rêvé pour jouer à ce jeu. Comme souvent, j’ai demandé le jeu pour Noël 1999, et alors que ma console était déjà pucée, je ne voulais pas avoir une version Verbatim du jeu, et ce fut le cas pour tous les autres épisodes de la série, car ces boites font pour moi partie du plaisir de jouer à un FF. J’ai donc débuté mon aventure à la moitié de mon année de CM2, et je me suis retrouvé bloqué avant l’été. Comme j’avais mes chouchous dans l’équipe de héros de cet épisode, je jouais principalement avec les trois mêmes comparses et je laissais les autres au placard. Grossière erreur en général dans un RPG, mais encore plus dans c’ui là puisque chez Squaresoft on s’était dit que ça pourrait être marrant de séparer le groupe de manière arbitraire au fil de l’aventure histoire de me laisser me démerder avec un groupe de cancres incapables de rivaliser avec un scorpion ridicule. Du coup pendant les grandes vacances, j’ai fait autre chose, et lorsque je suis rentré au collège, je jouais un peu moins à ma Playstation – beaucoup plus à la Dreamcast que nous avions eu également à Noël 99 – et j’ai laissé Final Fantasy VIII dans un coin de ma chambre.

Jusqu’à ce qu’au détour d’une conversation avec un camarade de 6ème, j’appris que j’avais dans ma classe un fan inconditionnel de SquareSoft et de J-RPG en général. Nous nous sommes naturellement liés d’amitié et il m’invita un jour récupérer un Verbatim de Legend of Dragoon contre le prêt de mon exemplaire de FF8. Lorsqu’il me rendit mon jeu après en avoir fait ce que vous pouvez vous douter qu’il fit, il me demanda de venir avec ma carte mémoire car le petit filou possédait un action replay. Je lui avais dit que je m’étais retrouvé bloqué au début du deuxième CD, et il me proposa de me cracker une save pour que mes personnages soient dès le début au level maximum avec toutes les invocations de débloquées. Comme je n’étais pas encore adepte des jeux à systèmes et que je voulais surtout voir la fin de mon jeu, j’acceptai bien volontiers. J’ai donc repris le jeu de zéro, avec trois personnages complètement crackés, et j’ai roulé sur le jeu… jusqu’au combat final. Oui, encore une fois, le jeu choisissait arbitrairement qui de mes héros allaient affronter le boss de fin. Et comme je n’avais pas la patience de relancer la sauvegarde à chaque fois que je tombais sur un tirage pourri, et que malgré mes efforts je ne parvenais pas à tenir tête à cet ultime obstacle, j’ai abandonné, et j’ai demandé à mon pote de me raconter la cinématique de fin. Oui… c’est moche. Je m’en veux encore aujourd’hui d’avoir été si faible face à un jeu vidéo.

Déçu de mon expérience biaisée sur la 8ème merveille du monde, je me suis juré de ne pas reproduire cette erreur lorsqu’un Final Fantasy IX sortirait. Et lorsque je vis les premiers visuels du fameux jeu, je fut intrigué. Le jeu ne suivait pas l’évolution « adulescent » de l’opus précédent, et me proposait de revenir dans un monte plus féerique aux proportions plus cartoons. Circonspect au premier coup d’œil, je me suis mis à l’attendre comme un dingue dès que j’ai vu qu’il y avait des bateaux volants.

J’adore les bateaux volants, vous l’ignoriez?

Et lorsque Final Fantasy IX est enfin sorti pour mon anniversaire en 2001, j’ai ressorti ma Playstation du placard où je l’avais laissé puisqu’à cette époque je venais de terminer Shenmue et il m’était compliqué de revenir sur ma belle grise vieillissante. Mais à peine une heure passée sur le vieux fauteuil dans ma chambre face à ma petite cathodique qui trônait sur une table basse ronde en rotin, que le constat se faisait de lui-même : j’étais reparti pour un tour. L’ambiance générale me parlait en plein coeur, le système de combat à quatre personnages me facilitait un peu la vie; tout comme le système d’apprentissage des compétences que je trouvais vraiment cool. J’ai tellement été emporté par cet univers que je me suis même mis à dessiner des BDs sur mes cahiers de brouillon mettant en scène ce monde merveilleux. Pour l’anecdote encore une fois, il faut savoir que j’avais intitulé cette fameuse BD « Final Fantasy : la quête d’Anfalmyr »… C’est de là que ça vient mon pseudo, de mon amour pour FFIX. Et, pour la première fois, j’ai terminé un Final Fantasy! Oui, et sans tricher ! Ce fut long, difficile, mais passionnant et j’en suis sorti émerveillé. J’étais devenu assez grand et bon au jeux vidéo pour terminer un FF, et ce fut très probablement le dernier jeu que j’ai pratiqué sur ma Playstation. L’ultime expérience parfaite sur ma toute première console à moi.

Et c’est cet amour sincère pour cette franchise que je n’ai cessé de redécouvrir avec le temps qui a fait que je me suis infligé ce quinzième numéro. Parce que Final Fantasy est un nom qui a une sonorité toute particulière pour moi, là où ça n’évoquera sûrement pas grand chose chez des jeunes joueurs qui ont aujourd’hui l’âge que j’avais lorsque j’ai vu Aéris pour la première fois sur l’écran cathodique de ma télévision. J’ai eu la chance d’avoir un FF monument chaque année; quand on nous habitue à un tel niveau de maîtrise avec cette régularité, forcément ça laisse une emprunte indélébile chez un jeune adolescent. Final Fantasy c’est un peu comme la série James Bond, on préfère toujours celui qu’on a fait lorsqu’on entrait dans l’adolescence. Et cette fibre nostalgique, Final Fantasy XV n’a eu de cesse de me la rappeler à grand renfort d’OST rétro à écouter sur la route.

Et lorsque je parcourais les routes sinueuses et infiniment tristes de ce monde malade en écoutant quelques notes de Final Fantasy VIII, je me disais : j’ai quand même eu de la chance d’être ado à l’époque des Final Fantasy Playstation…

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Énigme Épisode #108

Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 23 mai date de la cent-septième émission de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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[mM] combat final

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Yop les gens !

 

Résumé des épisodes précédents :

Notre cher soldat/zombie a fui Doom pour créer sa propre armée dans le but d’éradiquer les supers gentils.

Il avait installé sa base dans le manoir de Resident Evil et embauché des scientifiques de Half life pour l’aider à mener sa quête à terme.

Sauf que ces derniers ont tenté une expérience qui n’a pas eu les conséquences souhaitées : En voulant rendre les méchants gentils, il a inverser la tendance aussi de l’autre côté.

Tous les héros de jeux vidéo sont devenus méchants et sont partis à la poursuite des méchants, logiquement devenu gentil.

Mais d’après un des scientifiques, il existe une solution qui pourrait régler le problème. Finir un jeu, ce qui le rebooterai et remettrai tout à zéro…

Voilà pour le résumé, passons à la suite de l’histoire…

 

[mM] combat final

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[mM] les rues de la rage

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Yop les gens !

 

Résumé des épisodes précédents :

Notre cher soldat/zombie a fui Doom pour créer sa propre armée dans le but d’éradiquer les supers gentils.

Il avait installé sa base dans le manoir de Resident Evil et embauché des scientifiques de Half life pour l’aider à mener sa quête à terme.

Sauf que ces derniers ont tenté une expérience qui n’a pas eu les conséquences souhaitées : En voulant rendre les méchants gentils, il a inverser la tendance aussi de l’autre côté.

Tous les héros de jeux vidéo sont devenus méchants et sont partis à pourchasser les méchants, logiquement devenu gentil.

Mais d’après un des scientifiques, il existe une solution qui pourrait régler le problème. Finir un jeu, ce qui le rebooterai et remettrai tout à zéro…

Voilà pour le résumé, passons à la suite de l’histoire…

 

[mM] les rues de la rage

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Énigme Épisode #107

Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 9 mai date de la cent-septième émission de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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Retro d’avril par Anfalmyr

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Quel mois d’Avril mes amis ! Le remake de Wonderboy 3 qui sort dans un enthousiasme général et fait découvrir aux nouvelles générations un game design d’un autre temps; JulienC qui ne fait plus partie de Gameblog; les réseaux sociaux qui commencent déjà à se hyper à l’idée d’une SNES mini; sans oublier le Gameboy qui fête ce mois-ci ses 28 ans ! Quel mois vous dis-je…

Pour commencer, j’aimerais profiter de cet édito pour rendre un petit hommage à Julien Chièze qui vient de quitter Gameblog.fr après dix années d’intense investissement. Je ne me garderai bien évidemment d’y aller de mon petit commentaire, car c’est une affaire donc on ne sait rien et qui ne nous regarde aucunement. Non, je tiens à remercier encore une fois Julien pour avoir si brillamment su donner envie à tant d’anonymes comme nous de se lancer dans l’aventure du podcast. Nombreux sont les podcasteurs de notre génération à avoir eu l’envie de s’essayer à l’exercice à force d’écouter les anciens de Joypad discuter jeux vidéo autour d’une table à repasser. Ce fut pour moi une réelle fierté de recevoir Julien sur les ondes de LaCazRetro pour parler de Secret of Mana. Je le remercie une nouvelle fois d’avoir accepté notre invitation avec tant de simplicité; ce fut un moment très particulier pour moi que d’animer un podcast en sa présence et de suivre avec attention les quelques bons conseils dont il m’a dispensé ce soir-là pour m’améliorer. Ici à LaCaz nous sommes des enfants des podcasts de Gameblog, on s’est formé au sein de sa communauté. J’envoie également plein de bonnes ondes à Traz et Julo pour le challenge qui se présente inopinément à eux; je sais leur talent et je ne m’inquiète pas pour eux.

 

Ceci étant dit, j’aimerais revenir sur la rumeur insistante d’une prochaine SNES mini. Oui, ça n’a rien à voir. Nous revenons à peine d’un micro-phénomène de hype autour de la NES mini, où tous ceux qui voulaient afficher qu’ils étaient au top de la mode de la nostalgie, nous ont spammés avec des photos de boites neuves. On ne va pas se le cacher, ça faisait un peu cher pour un selfie et une soirée à se rendre compte que la NES ça a mal vieilli et que la majorité des jeux de votre enfance ne figure pas dans la sélection arbitraire de trente titres inclus dans le bousin.

Mais la Super Nintendo c’est pas pareil. Là on parle d’une des meilleures ludothèques de l’histoire du jeu vidéo; d’une machine mythique qui aujourd’hui met presque tout le monde d’accord lors des apéros de trentenaires. Là pour le coup, l’excitation semble bien plus légitime.

Mais non.

Aujourd’hui, personne ne s’inquiète de la liste de jeux qui figurera dans cette boite en plastique. Et avec la ludothèque de malade de la SNES, imaginez le nombre hallucinant de hits qui ne feront pas partie de la sélection finale. Nan, aujourd’hui tout le monde se dit qu’il faudra investir day-one dans cette objet dont la cote va assurément exploser quelques jours à peine après sa sortie.

Personnellement, je vois plus ces sorties comme une manière astucieuse pour Nintendo de vendre de beaux objets collector plus que de réellement proposer aux joueurs une manière nouvelle et légale de profiter de son histoire dans un cadre optimal. Il faut voir les choses telles qu’elles sont, voilà des années que sur les ondes de lacaz nous « militons » pour l’arrivée d’un service à la Netflix , pour pouvoir JOUER de manière légale à des offres proches des frontends que nous utilisons depuis plusieurs années maintenant et qui n’ont rien à envier aux offres officielles. De plus, n’oublions pas que ce système de ressorties par collections de jeux nous cantonne toujours aux mêmes titres; les usual suspects qu’on nous ressort régulièrement depuis 20 ans; laissant pléthore de bons jeux d’antan sur la touche. Cette mémoire sélective du jeu vidéo va continuer de plonger tant de bons petits jeux dans l’oubli que ça me rend plus triste qu’autre chose.

Ces mini consoles sont des objets de collection, voire de statut social, mais certainement pas des ressorties. On me rétorquera bien volontiers que je ne suis sûrement pas le public visé et que c’est toujours mieux que rien – et vous n’auriez pas tort – mais je ne peux m’empêcher de penser que c’est bien triste de se contenter de si peu. D’autant que des propositions alternatives existent (je pense par exemple à cette micro NES à cartouches NFC)  et qu’elles sont à mon sens hautement plus intéressantes. Mais pour creuser un peu plus la question, je vous inviter à écouter notre podcast Hors-Série « Emulation 2 » où nous débattons sur ce sujet.

 

Mais pendant qu’on se perd en conjectures, le Frigo fête ses 28 ans. 28 années d’une lignée de consoles portables à succès planétaire qu’aucun concurrent ne parviendra à bousculer jusqu’à l’explosion des smartphones. Un anniversaire qui laisse aisément supposer que dans deux ans nous aurons droit à une réédition en mode « mini » pour le trentième anniversaire.

Chez moi, on n’a jamais eu le premier Gameboy; et ce n’est pas faute de l’avoir demandé ! Car oui, mon frère avait effectivement demandé la portable de Nintendo à l’époque – nous avions déjà quelques Game&Watch – mais notre SEGAFANBOY de paternel lui offrit une GameGear à la place « Parce que c’est de la couleur, c’est plus puissant et Sega c’est mieux que Nintendo« .  Mais lorsqu’un cousin ou un ami débarquait à la maison avec la bête, même pour des gosses élevés au bleu, il n’y avait pas photo. Trente secondes sur Tetris valaient mieux qu’une semaine sur Columns, un Link’s Awakening faisait bien plus voyager qu’un sympathique Dragon Crystal. J’ai dû attendre la sortie du GameBoy Color ( violet transparent toi même tu sais) avec Pokemon Bleu pour enfin découvrir la qualité de sa ludothèque, ludothèque qui ne cesse de m’étonner encore aujourd’hui.

Ce que j’ai toujours adoré sur le Gameboy, c’est qu’elle vient d’une époque où les développeurs étaient habitués à des standards plus élevés, et les limitations techniques de la machine les obligeaient à penser différemment et à creuser ce qui devait être le coeur de l’expérience de jeu. Un procédé d’épure que j’aime particulièrement et qui a donné des jeux d’une simplicité et d’une pureté dingue. Des jeux qui sont toujours aussi agréables à jouer aujourd’hui.

Alors je te souhaite un excellent anniversaire petite chose magique. J’ai hâte de me plaindre dans deux ans de la pauvreté de l’offre de ta réédition collector trop cool #revival #oldies #tropdesouvenirs #ads

 

Pour conclure j’aurais aimé vous parler du remake français de Wonderboy 3, jeu de coeur pour pas mal de cazeurs (dont Subby qui le speedrun comme un taré), mais je n’ai pas eu le temps de me le faire à l’heure où j’écris ces lignes. Mon impatience est énorme, et ma rage face aux chanceux qui ont eu le presskit en boite de Master System, est intolérable. Vous pouvez toujours retrouver l’avis de notre Punky sur sa chaîne youtube en attendant. Je félicite les gens de Dotemu avec qui nous avons par le passé collaboré pour vous offrir des cadeaux sur le Grand Quiz. Leur nouvelle orientation démarre de bien belle manière et je le souhaite de continuer à nous proposer des titres avec ce niveau de finition. J’aime la philosophie de ces gens, leur manière de respecter le passé et de lui donner le coup de jeune qu’il faut pour le rendre attirant pour le plus grand nombre. Vivement que je puisse m’y plonger !

 

Énigme Épisode #106

Afin de vous faire patienter tranquillement jusqu’au 25 avril date de la cent-sixième émission de La Caz’ Retro, je vous propose de faire marcher vos petites méninges sur une image énigme, teasing, whatever.. qui pourrait vous donner un indice sur le thème dont on va parler la semaine prochaine !

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[mM] Un plan simple

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Résumé des épisodes précédents :

Notre cher soldat/zombie a fui Doom pour créer sa propre armée dans le but d’éradiquer les supers gentils.

Il avait installé sa base dans le manoir de Resident Evil et embauché des scientifiques de Half life pour l’aider à mener sa quête à terme.

Sauf que ces derniers ont tenté une expérience qui n’a pas eu les conséquences souhaitées : En voulant rendre les méchants gentils, il a inverser la tendance aussi de l’autre côté.

Tous les héros de jeux vidéo sont devenus méchants et sont partis à pourchasser les méchants, logiquement devenu gentil.

Mais d’après un des scientifiques, il existe une solution qui pourrait régler le problème. Finir un jeu, ce qui le rebooterai et remettrai tout à zéro…

Voilà pour le résumé, passons à la suite de l’histoire…

 

[mM] Un plan simple

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